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jean-michel Bélouve

jean-michel Bélouve


Après une longue carrière de cadre export, d’industriel, puis de fonctionnaire, je consacre une grande partie de ma retraite à écrire. J’ai longuement étudié l’histoire contemporaine, celle du développement durable et du changement climatique. Je publie un livre, disponible à partir du 7 décembre 2009, « La Servitude Climatique, changement climatique, business et politique », un dossier global, abordant l’histoire du changement climatique, la controverse climatique, l’action des médias, l’économie du carbone, les biographies d’Al Gore et de Maurice Strong, la géopolitique du climat et un appel en faveur d’une refondation de l’écologie. ISBN - 978-2-9535632-0-7 . www.belouve.fr

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  • Premier article le 30/10/2009
  • Modérateur depuis le 09/12/2009
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Derniers commentaires



  • jean-michel Bélouve jean-michel Bélouve 30 octobre 2009 15:16

    Le GIEC comporte 2500 collaborateurs, y compris ses personnels administratifs. Il comporte environ 500 à 600 scientifiques et quelques centaines d’économistes, des cadres d’ONG aux compétences variées, rarement scientifiques. Le « consensus » est constitué par le résumé à l’usage des décideurs, fait par son instance politique composée de 130 représentants des états membres. La plupart des collaborateurs du GIEC, scientifiques et économistes inclus, n’ont pas accès aux médias et n’ont pas l’occasion de manifester publiquement une opinion (nombre d’entre eux n’en ont d’ailleurs pas envie).

    Vous pouvez affirmer que le GIEC, dans ces conditions, représente le consensus mondial. Mais alors, comment considérez-vous les 32000 scientifiques qui ont signé la « pétition de l’Orégon » dénonçant le GIEC et le protocole de Kyoto, les 700 scientifiques de haut niveau du NIPCC, organisme créé pour contester les thèses du GIEC, etc...

    Et les savants que sont Richard Lindzen, Roy Spencer, Jaworowski, Akasofu, Sorokhtin, Svensmark, Kirkby, Leroux, Allègre, Courtillot, Abussamatov, Shariv, Fred Singer, Veizer, Pielke, Bill Gray, Seitz, Zichini, Segalstad, Dyson, Tim Ball, Tennekes ... La liste est très longue. Leurs recherches contredisent les dires du GIEC. Sont-ce des imposteurs ? Si vous dites oui, vous devez le prouver.



  • jean-michel Bélouve jean-michel Bélouve 30 octobre 2009 14:54

    Les glaciers terrestres fondent lentement et régulièrement depuis la fin de la denière période glaciaire, il y a quelques 10000 ans. Pour le comprendre, chechez « cycles de Milankovitch » sur wikipedia, par exemple. En ce qui concerne les pôles, la partie est du glacier arctique a fondu jusqu’en 2007 (cela correspond au réchauffement observé de 1975 à 1998). Actuellement, la fonte marque une pause. Dans la partie ouest du glacier arctique, il y a eu un léger refroidissement et une augmentation de l’épaisseur de glace. Ce sont là des différences climatiques régionales, qu’on observe un peu partout sur le globe. Le glacier antarctique lui se refroidit et augmente régulièrement d’épaisseur. Deule une minuscule péninsule s’avançant vers l’Argentine connait des périodes de fonte au contact d’un courant océanique tempéré. On sait expliquer (plus ou moins) tous ces phénomènes sans faire appel à l’effet de serre.



  • jean-michel Bélouve jean-michel Bélouve 29 octobre 2009 18:24

    Les preuves d’erreurs graves, et même de fraudes scientifiques (courbe hockeystick de Mann) et forts soupçons de fraude (« perte ou destruction » des données source de température du CRU brtannique) s’accumulent sur les travaux du GIEC. Les doutes sur la qualité et l’honnêteté de cet organisme se sont accumulés depuis l’origine. Quand au consensus, c’est de la désinformation pure et simple. Il y a beaucoup plus de scientifiques qui se sont prononcés contre les théories du GIEC ou sur les politiques fondées sur ces théories que d’hommes et de femmes de science qui les soutiennent expressément. Voir, entre autres, les 31000 scientifiques signataires de la pétition de l’Orégon.

    Que des politiques lourdes de conséquences, d’ampleur planétaire, irréversibles utilisent ces travaux douteux comme caution est tout simplement monstrueux. Messieurs Sarkozy, Obama, Brown, Mme Merkel, et autres ne peuvent pas ne pas être informés de la fragilité du dossier GIEC. Ils utilisent donc sciemment une manipulation anti-démocratique pour tromper leurs peuples et imposer des contraintes, des taxes, et des handicaps économiques que personne n’accepterait sans leur stratégie de la terreur.

    Faut-il être libéral pour affirmer cela ? Je remarque que des scientifiques tels Claude Allègre et Vincent Courtillot sont plutôt des personnalités de gauche, mais honnêtes eux. Mais à quoi rime cette chasse aux sorcières, qui veut que dès lors qu’on refuse les théories du GIEC et les politiques qui en découlent, on est forcément « ultra-libéral » ou « vendu aux lobbies pétroliers » ? Ce sont là les arguments insignifiants de gens qui se montrent incapables de réfuter objectivement les thèses sceptiques, ou alors qui ont un intérêt personnel à la perpétuation des errrements actuels des gouvernants occidentaux. Il est vrai que les politiques interventionnistes actuelles en matière environnementales constituent une poule aux oeufs d’or pour des millions de gens de par le monde, et que ces gens là ne voient aucun inconvénient à ce qu’on dépouille les contribuables, qu’on bride la liberté des citoyens et qu’on diminue le bien-être du plus grand nombre pour que leur filon perdure.

    Reste la masse des gens conditionnés par l’énorme propagande déversée depuis près de vingt ans, des gens qui faisaient confiance à leurs médias habituels, qui croyaient en la compétence et en l’honnêteté des dirigeants politiques qu’ils portaient au pouvoir. Ils est crucial que des auteurs du talent de Monsieur Vincent Bénard puissent s’exprimer, et ceux qui vitupèrent contre ce qu’il est, plus encore que contre ce qu’il écrit, ont une curieuse conception du respect d’autrui et de la liberté d’opinion.

    S’il faut être libéral pour dire que le GIEC se trompe ou nous trompe, preuves à l’appui, alors vive le libéralisme. Il est vrai que la plupart des dirigeants socialistes, des démagogues du MODEM et des cireurs de pompes présidentielles de l’UMP aboient avec les alarmistes climatiques. Je suis convaincu que leurs électeurs ne se laisseront pas éternellement berner par leurs mensonges. Je sens d’ailleurs monter la fronde. Le temps est proche où la plupart des ces aboyeurs sentiront le vent tourner, et découvriront subitement les vertus des valeurs de liberté individuelle, de responsabilité, de respect de la propriété, de la liberté d’entreprise, et de tous les autres principes de cette philosophie qui, depuis les Lumières et Adam Smith, a triomphé de l’ancien régime, du marxisme-léninisme, et qui saura s’opposer bientôt au Nouvel Ordre Mondial et à ses serviteurs Verts.

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