Bonjour
J’ai souri en voyant le titre de votre article, c’est une expression que j’emploie depuis 20 ans. Je ne sais plus si je l’ai lue quelque part ou si elle m’est venue un soir au bistrot. En tout cas je suis d’accord avec votre article, l’homme a force de vouloir une planète et ses millions d’espèces à sa botte et à sa main finira comme le dodo, mais contrairement à l’oiseau de l’Ile Maurice il n’y aura plus personne pour l’évoquer. Mais est-ce une mauvaise chose ?