Sans compter le jugement hâtif sur la démagogie de Montebourg.
Donc la démagogie c’est que faire croire au peuple qu’on peut combattre les banques, et le réalisme c’est de leur faire croire qu’on va améliorer notre sort sans combattre les banques.
Le courage politique c’est de ruiner les faibles en caressant les forts, et le manque de courage, c’est de défendre les faibles.
Eh bein dites donc la novlangue est décidément profondément ancrée dans les têtes.