On ne vit, on ne peut vivre, en fait que par rapport à autrui, même quand on ne s’en rend pas compte, même les enfants qui ont plaisir à être seuls, car alors ils vivent des personnages (et des mondes entiers des fois !) qu’ils imaginent, même quand on admire la nature, car en fait si on est capable de faire ça, et avec plaisir, c’est soit qu’on le fait à deux, soit même seul qu’on est dans une vie où il y a quelqu’un (ou -quelques uns) qui vous réchauffe, qui vous nourrit, et vous aimante.
Autrement il n’y plus aucune vie possible, nenia ajn.