Les banquiers ont compris qu’ils feraient plus de pognon dans une économie de guerre, plutôt que dans une économie de temps de paix. Donc, ils préparent la guerre. C’est simple.
Le contrôle des matières premières, de l’énergie et de l’industrie lourde sont en jeu.
Ceux qui contrôleront ces trois secteurs clés, pourront installer des régimes dictatoriaux en quête d’espaces vitaux alimentés par la xénophobie, elle même alimentée par la crise économique et sociale.
Une fois la guerre déclarée, une fois les infrastructures détruites, l’argent des mêmes banquiers basculera étrangement du côté des « Démocraties »...
Car après le chaos, il est plus bénéfiques de reconstruire avec des taux d’intérêts, que d’entretenir la guerre.
C’est un mouvement de balancier. C’est tout.
Cynique, mais ne demandez pas à un banquer de faire autre chose que de faire du fric avec du fric. Ils n’ont pas d’idéaux. Ils sont apatrides. Sur la misère comme sur le progrès, leur seul intérêt est de faire du fric.