Etant retraitée depuis 4 ans (après 42.5 ans de travail à temps plein et non stop), faut-il que je me prépare à justifier l’utilité et le bien-fondé de mon existence ? Cela ne m’étonnerait pas plus que ça, dans ce système ultra-libéral.
J’aime à me rappeler les paroles d’Angelus Silesius dans le « Pèlerin chérubinique » : La rose fleurit sans pourquoi...