@l’auteur : vous écrivez « l’esclave moderne (le sans-papiers) vit la peur au ventre » pour ensuite faire la comparaison avec « l’esclave »traditionnel« qui vivait »dans la sécurité alimentaire« .
Un peu d’honnêteté s’il vous plaît : l’esclavage traditionnel était, dans les civilisations
antiques, une institution reconnue (ex : Mésopotamie, Inde, Chine, Egyptiens, Hébreux, Aztèques, Incas, Mayas et Celtes) dans des buts économiques ou militaires. Ces civilisations partaient du principe qu’un maître ayant un esclave pouvait lui aussi devenir esclave s’il était fait prisonnier lors d’une guerre notamment.
Aujourd’hui, le clandestin arrive de lui-même en France !!! Personne n’est allé le chercher !
Et vous prétendez que, puisque sans papiers, il vit »la peur au ventre« , dans l’exploitation et l’esclavage. Qu’il se hâte de rentrer dans son pays d’origine et de retrouver la liberté !!!!
Vous demandez la régularisation systématique des sans papiers, ce qui créerait un formidable »appel" notamment des pays africains. Accueillons donc le dixième de la population africaine, soit 100 millions de personnes et accordons leur la nationalité française ! Avez-vous le sens des réalités Chalot ? Bref, êtes-vous Responsable ?