Comme le souligne Freud, dans « Malaise dans la civilisation », par le seul fait qu’il fait partie d’une foule, l’homme descend plusieurs degrés sur l’échelle de la civilisation ; isolé, l’individu peut-être cultivé ; en foule, c’est un instinctif. « Il a la spontanéité, la violence, la férocité et aussi les enthousiasmes et les héroïsmes des êtres primitifs ».