Au XIXème siècle il y avait les dames patronnesses pour donner la soupe populaire aux pauvres et soigner dans les hopitaux les indigents.
Aujourd’hui il y a bien les ONG en forme de nouvelles dames patronesses. Le principe est le même, seule l’échelle a changé.
Mais de qui sont elles les « gentilles épouses » ? De quels « méchants maris » ?
Des grosse multinationales me direz vous. Mais alors, qui sont les ouvriers ?
Au début du XXème les mêmes disaient qu’on ne peut pas partager la misère du monde, qu’il n y a pas assez à manger pour tous, qu’il faut donc exploiter les faibles, que chacun doit lutter pour lui même contre les autres.
Mais quand en réalité la marmitte est pleine, qu’on en jette à la poubelle, que l’abondance est partout ?