La politique est devenue l’une des composantes de la finance. En Grèce, le parti Syriza a gagné une élection, qui n’a pas été poursuivi par une assemblée, puisque les marchés financiers, dont l’ Union Européenne fait partie pour appuyer les décisions, ont finis par refuser la validation de l’élection du peuple votant grec.
Le TSCG, n’aura même pas de consultation populaire, et certains pays comme l’ Angleterre ou la République Tchèque ont pu s’exclure de ce processus, pour des raisons. Comme pour le référendum de 2005 qui devait créer, à la suite du résultat, de nouveaux choix de société, c’est par le traité de Lisbonne voté par les politiques, que se décidera les choix financiers d’avenir, sous le signe de l’austérité, que les allemands soutiennent, après être revenu dans le leadership européen.
Les grecs ont votés pour le parti Syriza, parce qu’ils ne prônaient pas une austérité dont la population ferait les frais. Comme la finance, par le biais de la Banque mondiale ou du FMI, soutenue par l’ Union Européenne, ont été en désaccord avec cette politique financière, l’élection a été annuler.
Il n’y a plus de possibilités politiques pour les citoyens de faire entendre leurs voix, puisque les partis politiques, qui sont en désaccord avec des choix financiers des marchés ou des grandes holdings de la finance, ne peuvent accéder aux responsabilités de l’ Etat, et se voît refuser l’accès à la gestion des services publics.
La Grèce a vu par la suite un ancien dirigeant de banque, de Goldman Sachs, accéder au poste principal de la République (il y a problème de conflits d’intérêts dans ce cas). C’est à dire pour appliquer les projets de la finance, avec notamment un marché rentable des dettes. L’ Union Européenne était à la base un commerce régional, pour favoriser les industries nationales et continentale, et est devenue un organisme européen mondialiste et financier.