N’étant pas conçu pour le profit pécuniaire, le logiciel libre ne subordonne jamais les impératifs techniques à une logique financière. Le code source est ouvert, et peut donc être vérifié et débugué de manière participative, ce qui accroit sa qualité comparé à un logiciel propriétaire où le nombre de développeurs est un numerus clausus.
En termes sociaux il est intéressant de constater que des gens peuvent travailler en équipe de manière volontaire, non rémunérée et auto-organisée pour le bien commun.
Pourquoi le font-ils ? D’abord parce qu’ils ont besoin de tel outil technique, tel type de logiciel. Ensuite pour la gloire : la reconnaissance de la communauté est un rouage essentiel de la motivation d’un contributeur libre : satisfaction d’avoir participé à l’édification d’un truc utile, fierté d’un code de qualité, service que le logiciel rends au quotidien.