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ddacoudre ddacoudre 18 octobre 2012 12:11

bonjour vincent

j’ai lu avec plaisir ton article, je doute qu’un jour nous sachions définir la réalité qui est le temps infinitésimal qui s’écoule nous vivons de notre passé mémorisé, de notre mémoire analogique qui en réponse à l’impact environnemental suggère au cerveau la réponse consciente que nous observons qui aussitôt émise se trouve dépassé mais à généré ses effets ainsi de suite dans un enchaînement infini.
la thermodynamique me convient bien comme définition de la réalité « vrai », j’ai écrit en son temps que c’était plutôt le chaos, cette chose insaisissable à notre esprit qui la élaboré preuve de notre propre incompréhension à saisir le Tout dont nous sommes un élément
.Depuis lors j’ai opté pour l’information, la vérité serait de l’information, une information, cette information que l’on retrouve au bout d’un accélérateur de particule et qui conduit toute chose à disparaitre a notre regard incapable de suivre ,au minimum, la vitesse de la lumière.
sur cette base la vérité ne serait en fait que la perception de cette information à tout instant et il n’y aurait pas lieu d’opposer comme vraies ou fausses les différentes perceptions.elles sont.
 Le monde quantique qui n’est que celui de notre cerveau nous ouvre une dimension philosophique qui n’était abordé qu’empiriquement par tous ceux qui se sont penchés sur l’essence de l’existence. nous accédons seulement à une dimension que les bouddhistes avaient déjà défini à leur manière. Il est d’ailleurs toujours intéressant de lire les ouvrages ou la science et le bouddhisme échangent leurs point de vue.
en fait la mécanique quantique ouvre l’éventail énorme de nos possibilités cérébrales pour décoder toutes les informations qui nous constituent et rend notre présent défini par nos connaissances passées un peu plus rétrograde, voire réducteur, d’un être heuristique et ésotérique dont la seule terre à conquérir est l’incertitude.
Pour tant loin d’être un poids cela nous indique que nous disposons de possibilités dont nous ignorons la mesure, et dont l’accès dépend des rétroactions avec l’environnement que nous modifions sans cesse lentement en accédant au magasin de la méconnaissant ou de notre ignorance qui fait de chaque savoir un jalon de plus dont nous savons qu’il n’est pas indispensable pour vivre, mais qu’il s’impose par notre activité culturelle qui le génère dans une fuite ou le terme visible est la mort qui est un terme fondateur d’un passé plus ignorant que celui d’aujourd’hui où nous savons que cette mort n’est qu’un changement d’état.
Par analogie nous pouvons regarder le monde comme un puzzle dont les limites nous sont inconnues et dans lequel chaque pièce infinitésimale se trouve une place qui modifiera sa forme et sa couleur en se posant au côté d’autres dans une rétroaction infini pour donner une image sans cesse changeante dont nous ne pouvons percevoir que celle limité par nos sens qui se sont élargies à notre intelligence par l’usage de technologies qui portent notre regard à vers l’infiniment petit et l’infiniment grand qui ne peuvent être saisi que par un psychique ouvert ou la raison ou l’intelligence comme nous disons.
Il est donc impensable de pouvoir envisager d’être au dessus du puzzle pour en voir l’image, mais nous en avons le désir et la compréhension, ce sont nos dieux, la nature ou pour moi l’indéfinissable ou l’information, car si nous pouvions mettre un humain dans un accélérateur de particule il n’y aurait au bout qu’une information.
Cela est la porte qu’ouvre le monde quantique, il va invalider certain de nos mots comme dépassés, tel la mort dont nous savons aujourd’hui qu’elle n’est qu’un changement d’état (ce qu’avaient compris depuis fort longtemps les bouddhistes).
mais ceci va exiger de une gymnastique psychique ou il sera nécessaire de formater notre cerveau au monde réel perçus, puis l’ouvrir a ses possibilités insoupçonnés, en fait apprendre puis désapprendre. Ceci imposera un enseignement, mais également de savoir que tout ceci commande d’être convaincu qu’il y a un absolue où tout ce que nous concevons s’écroule. Il est donc nécessaire de comprendre que quelqu’un qui disposerait d’une certitude absolu devrait se suicider car en fait il est déjà mort. C’est un mort vivant qui ne pourra plus rien apporter au monde, hormis sa destruction, car pour vivre il ne développe que la mort qu’il porte.
Or notre cerceau à peur d’ l’incertitude, et nous le voyons tous les jours, c’est pourtant la seule terre à conquérir comme je l’ai érit et nous le faisons contre notre propre entendement, conduit par la totalité de nos actions quotidiennes qui s’agrégeront pour nous faire élaborer demain sur le mode échec car nous n’en saisissons qu’une infime partie, mais nous avons une idées des possibilités existantes et de nos « capabilités ». Il ne reste à attendre que ces « pièces » modifient lentement les autres comme toujours sous la pression de l’environnement.
cordialement.ddacoudre.over-blog.com .


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