Merci, je partage votre lettre, elle est importante que cela soit dit sans préjuger mis règlement de compte.
Cela confirme ce que je pense sur la question,
« Ce que l’on est en train de dire, ils doivent assumer leurs choix,
leurs couples sont stériles, et bien ce n’est pas nous qui l’avons
inventé, c’est comme cela.
On peut comprendre qu’ils vivent la frustration de pas pouvoir être
parent, ce n’est pas à nous de nous adaptez aux conséquences de leurs
choix, c’est à eux de le faire.
Quand ont prend le risque d’être marginal, il est naturel d’en
supporté tous les désagréments, ce n’est pas à nous de subir leurs
frustrations et à eux d’assumer leurs choix.
Il y a une ligne rouge qui ne peut être franchie, le fait de le dire
n’a rien d’un manque de respect vis à vis d’eux, et à eux de comprendre
la raison, qu’il y a une impossibilité autant sur le fond que sur la
forme. »
Vous soulevez une autre question qui est à mon sens tous aussi importante, la légalisation de l’euthanasie, le suicide assisté ?
Votre remarque en associent se future débat dans votre lettre, montre bien que ce n’est pas seulement un débat philosophique qu’il s’agit, mais bien d’éthique, à vous nous le droit de nous soustraire aux lois naturel et à notre destin particulier qui est caractérise par notre incarnation individuel ?