Argumenter le débat c’est commencer par le commencement, à savoir la pérennité du genre humain !
L’anthropologie nous dit qu’elle n’est concevable que par le concours de deux facteurs mutuellement indissociables : un facteur progéniteur et un facteur gestataire, c’est-à-dire, l’association incontournable d’un homme et d’une femme.
Sans ce binôme pas de pérennité du genre humain !
Mais il supporte des exceptions comme, par exemple, celle de l’escargot qui réunit en un seul individu les facteurs progéniteurs et gestataires.
Nous pouvons les envier par le fait que leur société civile est ainsi placée hors du présent débat…
Mais nous pouvons aussi les plaindre dès lors que leurs socialistes se voient ainsi privés des moyens de se faire une splendide banderole transcendantale pour masquer leurs profondes indigences.
S’agissant de notre condition humaine nous avons, heureusement, la poésie et les poètes pour survoler tout ça…
Georges Brassens dit que l’amour existe sans convention, sans contrat, sans loi, sans aucune connivence et sans aucune nécessité de graver nos noms au bas d’un parchemin ni, cela va de soi, de graver nos sodomies dans le code civil…