Trop inexact.
Dans le contexte de prix très haut, voire anormalement haut, les paramètres pour décider d’un achat sont multiples :
l’apport : quand l’apport couvre une part importante du bien (50% par exemple), il vaut mieux toujours acheter. Si on possède déjà un bien et qu’on veut le revendre pour acheter plus petit, c’est le moment ou jamais...
est-ce qu’on veut revendre le bien d’ici à 10 ans ? Si c’est le cas, il vaut mieux attendre...sauf si l’apport est très conséquent.
la qualité du bien (faut-il prévoir des travaux...) et sa situation bien évidemment.
Les taux d’intérêts ne jouent pas tant que ça : une baisse de 10 % des prix couvrirait plus qu’entièrement un doublement des taux.
Sa situation personnelle : un célibataire n’a aucun intérêt à acheter en ce moment (acheter un studio et s’endetter pour 20 ans pour y vivre, c’est ridicule), un primo-accédant est généralement exclu du marché, en particulier en région parisienne.