Les journalistes se croient dotés d’un grand pouvoir sur « l’éducation des masses cathodiques » et sur la nébuleuse « opinion publique ».
Ils se voient en contre pouvoir, en chevaliers blancs des droits de l’homme.
Enfin pas tous, heureusement.
Il reste qu’un journaliste ne parle que pour lui même à la base.
Bombarder AL-Manar ne va pas me faire pleurer. Il faut défendre la liberté là où elle se trouve.