Si on admet dorénavant, au titre de la liberté de la presse et/ou de la propagande haineuse comme un droit, comment pourra-t-on empêcher en France, par exemple, l’expression du racisme dans la presse ou dans la télévision ?
Le fait qu’il s’agisse de guerre au Liban et en Israël (et pas en France) sufit-il à justifier l’un et pas l’autre ? Mais si on pose que les principes généraux doivent être les mêmes pour tous, il apparaît que l’anti-racisme n’est plus un élément fondamlmental du droit et n’est que facultatif.