On est motivé quand on a un but, un métier qu’on souhaite exercer ou alors des matières qu’on aime. J’ai eu la chance d’avoir des profs super, qui m’ont fait aimer pas mal de matières comme le grec ancien et l’allemand. Je savais ce que je voulais faire plus tard aussi, donc ça aide pas mal à avaler deux redoublements. Ce qui manque aux jeunes, c’est un but. Pas mal de jeunes ne savent même pas quoi faire comme études ensuite, à part « une filière scientifique », parce que je suis bon en maths.