C’est la même chose dans tous les milieux : journalisme, littérature.... On peut les appeler les « entre-nous ». Ils ont en commun d’être certains de leurs talents supérieurs et indispensables. Ils se connaissent tous et se critiquent par en-dessous mais offrent un front uni, eux les dieux de l’Olympe face aux simples mortels. Ils ont adooooré tourner avec machin ou truc qu’ils souhaiteraient pourtant pendre à un crochet de boucher.
On voit paraître des bouquins sans intérêt aucun , mais mal écrit par un nom célèbre, celui-là se fera publier sans aucun problème alors que de jeunes talents galèrent, des manuscrits plein leur tiroir.
En journalisme, PPDA s’est vu attribuer des talents qu’il ne possède pas. Tout est faux en lui, même son nom. Pourtant son fils a une émission à lui tout seul. Emission banale à pleurer et ennuyeuse au possible, mal montée et présentée par un animateur falot et sans charisme aucun. J’imagine que des tas de jeunes journalistes aussi talentueux qu’anonymes piaffent à la porte... Mais eux n’ont pas la clef !