Il est assez extraordinaire que Sanofi, un groupe largement contrôlé par des capitaux et des intérêts étrangers, qui se livre au pillage des caisses de la sécurité sociale dans des proportions inégalées, qui gangrène l’appareil d’état au plus haut niveau (tous les ministres ayant des conseillers issus d’Euro RSCG, l’agence de com et de lobbying de Sanofi, jusqu’au président Hollande dont la plume, Aquilino Morelle, est aussi passé par Euro RSCG), ne fasse que de maigres entrefilets dans la presse. C’est détestable, lamentable, ignoble. Si la preuve était encore nécessaire d’une collusion entre la presse et le pouvoir socialo communiste, il n’est que de constater l’étrange sélectivité des scandales qu’elle sert chaque jour : tous sont dirigés vers l’UMP et l’UDI mais aucun vers la gauche : l’affaire Cahuzac était en dépit de sa volonté (merci Mediapart), la corruption dans l’Essonne qui touche Valls et Lamy est soigneusement oubliée... par contre Bettencourt, Takieddine, Servier, font le quotidien des quotidiens : une manière de ne pas parler des chiffres désastreux du chômage, de la politique économique calamiteuse des socialistes, des impôts délirants. Personne n’est dupe.