Votre maxime du droit est mal citée.
C’est : « Nemo auditur propriam turpitudinem allegans » : nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes (et non comme vous dites : « des turpitudes d’autrui ») pour faire valoir sa cause en justice.
Désolé mais le poète est aussi juriste et se souvient de ses études de Droit...
Sur le fond, je ne suivrai pas votre exemple en m’avançant sur un terrain que je maîtrise insufisamment. La religion est un sujet à manier avec une extrême précaution.