Quand j’étais petit, à la campagne, nous avions un service téléphonique commun. Une sonnerie pour nous, deux pour le voisin et ainsi de suite. Je parlais de cela avec mon père qui me disait qu’il s’était abonné à une revue un peu osée et le ma^tre de poste en avait avisé le curé. Mon grand-père, lui s’était amouraché d’une jeune fille des environs et tous les vendredi, il partait la voir à cheval. Eh bien, tout le village l’avait su. Aujourd’hui, pas besoin de services de pointe pour savoir ce qui se communique. Il n’y a qu’à prendre le bus à l’heure de pointe et vous saurez la vie de votre voisin juste en subissant sa discussion sur son portable !