La région parisienne est, me semble-t-il, un cas à part ; surpopulation, gigantisme etc.
Dans nos provinces, je me demandais s’il n’était pas judicieux de garder toutes les écoles de villages qui existaient naguère et compléter leurs effectifs par des gosses de ZUP des villes les plus proches ; hébergement chez l’habitant, deux soirs par semaine ( sauf à les faire venir le samedi, ce qui ferait trois soirs) ; changement d’ambiance ; peu d’élèves, milieux variés...pour les volontaires bien sûr, donc au final, vu l’égoïsme ambiant ou l’angoisse de séparation, cela ne concernerait peut-être pas beaucoup de monde, mais un peu tout de même !
La plaie, la violence, c’est la surpopulation. Je crois qu’il n’y a aucun échappatoire à ce constat !