@ franc
Je reviens vers vous à propos d’un détail qui me paraît le mériter.
Vous écrivez : « l’histoire n’est pas une science exacte ... ». Pourquoi ne pas dire qu’aucune science n’est aussi exacte que les scientifiques aimeraient nous le faire croire – tout en se contredisant les uns les autres ?
Mais là n’est pas l’important. Pour ce qui nous occupe ici, ce qui est nié n’est pas l’histoire - qui se situe bien au-dessus des élucubrations des intellectuels les plus brillants, raison pour laquelle ils n’ont jamais fini de l’écrire - mais de simples faits, auxquels le vulgum pecus est confronté avec ses seuls moyens d’appréciation, ce dont ne manquent pas de profiter les grands esprits pour propager leurs fantasmes. Chacun n’est-il pas dès lors réduit , ou à les croire benoîtement, ou à exercer ses facultés personnelles ; à activer librement ses idées, pour tenter de distinguer le vrai du faux et se faire librement son opinion ?