J’aime bien cet abord, synthèse pertinente qui renvoie à Feuerbach je trouve, ou Nietzsche. Même si je crois qu’il faut calmer parfois la critique selon des conditions historico-géographiques déterminées. Non par peur, ou soumission (ce qui absurde je trouve dans le contexte international) mais seulement par volonté pragmatique de garantir une forme de pax humana conjoncturelle en périodes de trouble.