Tout avait commencé quand l’homme s’est sédentarisé. La mondialisation existe depuis ce moment-là. Une fois installé, il a construit des murs pour se protéger de construit des murs. Les villes se sont édifiées pour rationaliser les déplacements de la main d’oeuvre et des marchandises.
Le nomadisme a continué chez certaines peuplades comme les Roms. Leur instabilité est mal vue, mal perçue par ceux qui étaient arrivés avant eux. Souvent des marchands qui ont cessé d’être ambulants.
La recherche confort est venu par la suite chez eux.
Il fallait des nomades qui achètent et vendent la marchandises. La richesse étaient survenue en comptant les bénéfices des transactions.
Puis est arrivé la recherche du moindre coût.
Comme le temps, le soleil détériore les bâtiments, il fallait maintenir l’ensemble en vie, le rajeunir. Il fallait trouver le moindre coût entre maintenir ou reconstruire ou s’étendre en laissant se déglinguer ce qui n’avait pas les moyens des opérations de rajeunissement.
La ville est devenue métropole, de métropole, on voyait toujours plus de rationalisation jusqu’à la mégalopole, la seule qui parvenait encore à vendre avec du profit, vu les coûts de déplacements qui augmentaient.
Les campagnes se rétrécissaient et on y gagnait de moins en moins, sauf peut-être en coopérative chez des grossistes.
Que restera-t-il des beaux quartiers ?
Si la Bourse ne monte pas jusqu’au ciel, la brique n’y montera pas non plus.
Mais comme la population augmente toujours, il y aura de nouveaux acheteurs et de nouveaux vendeurs. C’est ainsi que la roue tourne.