Ces pseudo « réponses » ne confirment rien, ce ne sont que des avis parmi d’autres, très discutables. De la social-politique fiction sans réel fondement.
Pour les entreprises qui manquent de main d’œuvre le dimanche, il y a l’intérim, les étudiants qui ne se font pas prier. Entre travailler toute la semaine au Mac Do ou chez Décathlon, ou deux jours chez Casto, Ils n’hésitent généralement pas (en passant, tout le monde se fout de leur exploitation qui dure depuis des années). Et il y a les volontaires, tout simplement, qui n’ont rien à faire de leur dimanche. Le législateur est là pour éviter les dérives, c’est tout ce qu’on lui demande.
Les étudiants faisant la manche à la sortie des églises, c’est le story board du prochain Spielberg ? Une prophétie du dimanche ?
Je cite votre « témoignage » le plus percutant :
« Il est évident qu’il y a la crise, ce n’est pas non plus une raison de tous cassés sous prétextes qu’il y a pas de solution.
Il y a toujours une où des solutions, et pourquoi elle ne sont jamais mit en Avants ? »
Donc il n’y a pas de solution, mais il y en a certainement une... parce qu’il y en a toujours. Pourquoi la solution n’est elle pas mise en avant ? Parce la réponse ne vous plait pas.
Si le travail du dimanche devait se généraliser, ce serait dans un contexte de nécessité élémentaire. Je crois que nous avons déjà franchi un cap dans cette évolution, que cela nous plaise ou non. Acheter massivement chinois est bien plus pervers pour l’économie. Au rythme de notre évolution, ils seront les riches de demain, et nous seront leur main d’œuvre.
Qui tirera les plus grands bénéfices du travail le dimanche ? Peu importe. S’il en va de la croissance, de la compétitivité française vis à vis d’un monde qui nous écrase, et d’un peu plus de confort pour chacun.
L’heure est au combat et le travail est une guerre.
En passant, je vous adresse un petit merci au nom de ces personnes qui ont pour devoir de travailler le dimanche. Pour eux, pas de repos ? Pas de jour du Seigneur ? C’est beau la vocation...