Alain Finkielkraut était reçu par la Radio
toujours qualifiée « de service public », dans laquelle de nombreux
journalistes se croient obligés de mettre en valeur les choix délétères de la
fausse Gauche, sans même réaliser qu’ils mettent en relief la stupide
contradiction de ces choix.
Dans le journal de 13 h d’hier, un des
organisateurs de « La marche des beurs » d’il y a trente ans disait
leur déception de constater que les promesses gouvernementales d’alors
n’avaient pas été tenues, et que les français issus de l’immigration ne peuvent toujours pas se sentir français
à part entière. La journaliste lui suggéra d’illustrer ainsi son propos : vous
pensez par exemple au droit de vote qui
n’est toujours pas accordé aux étrangers ?
Ça n’était pas du tout du second degré, ça
n’était pas de l’humour, c’était dit très sérieusement.
Sans surprise ici je trouve Alain
Finkielkraut très réconfortant. J’espère alors qu’il va enfin, avec d’autres
philosophes honnêtes et lucides, réfléchir et faire réfléchir sur le dogmatisme
criminogène qui a conduit à l’actuelle criminalité islamique, et qui est toujours
cultivé dans toutes les religions
monothéistes.