Pour rebondir sur Orwell, on a présenté son roman de science fiction publié en 1949 ,« 1984 », des années durant, pendant la guerre froide, comme une puissante charge anticommuniste.
On peut penser, aujourd’hui, qu’il décrit, en fait, l’étape ultime du système capitaliste : des dictatures « molles » qui, dans notre mondialisation, se font une guerre économique acharnée au service de la finance internationale qui détient, elle, le véritable pouvoir au détriment des populations de ces dictatures misent en concurrence sans aucun discernement.