Robert Gil vous faites une grave erreur.
Il existe un peuple de France, fait d’ouvriers de pécheurs d’artisans et professions libérale, de salariés (ingénieurs cadres intermédiaires, commerçants etc), d’agriculteurs de fonctionnaires.
Ce peuple vit en france il parle le français il est immensément attaché à son modèle républicain hérité des Lumières et à son modèle sociale hérité du CNR de 1945.
Ce peuple a intérêt à défendre sa souveraineté car en dehors de son (maigre le plus souvent) salaire et parfois (pour les plus chanceux) de sa maison c’est tout ce qu’il possède.
Oui nous peuple de France nous vivons dans une communauté de destins, dans ce que l’on appelle une Nation.
A l’inverse notre classe dirigeante n’est pas française, elle est mondialisée. De Washington à Berlin en passant par Bruxelles, nos élites parlent la même langue : l’anglais de Tatcher, le TINA des neolibéraux.
Elle fait tout ce qu’elle peut pour assurer la libre circulation de ses capitaux.
Notre patronat l’assume d’ailleurs clairement il a « Besoin d’Aires » (dixit Denis Kessler idéologue du ME( r ) DE(f).
Il y a un calcul mondial pour faire exploser les cadres nationaux, qui sont ( avec leur imperfection) les cadres dans lesquelles les peuples ont appris à se défendre collectivement, et livrer les peuples à une concurrence sauvage au niveau mondial alors même qu’il seront privé de toute voix démocratique pour se défendre.
Des lors, ton raisonnement sophistique doit être remis à l’endroit.
Pour combattre efficacement nos dirigeants néfastes, il faut s’emparer de l’arme du peuple : sa souveraineté !
Oui c’est la faute à l’UE, oui il faut le dire haut et fort et bien au contraire de dédouaner nos dirigeants et patronat (pseudo) nationaux dire cela c’est la seule vrai manière de s’y attaquer.
faire tomber l’UE et l’euro c’est attaquer le coeur du système capitaliste, c’est redonner la voix à notre peuple, c’est reprendre notre destin en main, c’est la seule voie pour aller au progrès et à la justice.
Commençons donc par donner un coup de pied dans la fourmilière en faisant campagne pour l’abstentions citoyenne aux européennes