Exemples de quasi-arnaques (quasi parce qu’on est pas obligés d’acheter) : le dernier ou avant-dernier Tom Clancy, vendu en deux bouquins alors qu’il est sorti aux USA en un seul pavé (de toute façon, il est devenu très faible, s’il les écrit encore lui-même...), ou la grande Elisabeth George qui s’essaie à la saga pour ados, un brin fantastique (télépathie), en bouquin épais alors que le premier tome est infiniment plus court que ses pavés habituels mais vendus au même prix : et la SF, c’est pas son truc... Ou Millenium, dont la traduction est devenue célèbre pour sa mauvaise qualité, probablement parce que payée au lance-pierre.
Internet a beaucoup apporté aussi pour choisir ses lectures, car s’il peut exister des fausses critiques appointées par éditeurs ou auteurs, la moyenne des réactions sur les forums ou les sites vendeurs donne une idée plus fidèle que les meilleurs critiques littéraires - à condition d’éviter les commentaires qui en révèlent trop ! (Je reste quand même lecteur de la revue Lire, mais la transition numérique est dure pour tout le milieu)