Nous savons qui est l’auteur du crime, et qui a assis sa popularité (supposée ?) et assuré sa nomination au poste de premier ministre sur cette infamie.
Nous savons qui lui a donné les armes du crime, et c’est la globalité de l’espace médiatique.
Il reste à trouver les commanditaires du crime, en cherchant, sans trop de difficultés, à établir qui tient en main l’espace médiatique, d’une façon tellement évidente que personne ne semble le voir.
Pas si difficile, quand l’auteur du crime lui-même avoue : « Je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël ».
Nous avons besoin encore de beaucoup d’enfants candides comme Human Iste pour oser dire : « Le roi est nu ».
Point Goldwin à la ligne.