Quelques remarques en désordre :
J’ai d’abord lu le titre et cela m’a aussitôt rappelé ce que je pense du lobby LGBT, qui ne représente que ses adhérents, c’est-à-dire pas grand monde ( proche en cela d’autres groupes de pression qui, suivez mon regard, n’existent pas... ) : ces gens se prennent pour une sorte d’avant-garde de la société, ils sont « le bien » et toute personne qui ne veut pas se laisser imposer leur idéologie, faite sur mesure pour eux, et qui ne convient donc pas à la majorité, est un « fasciste ». Bon là, une petite variante sympathique, c’est un « assassin »... Cette bonne vieille technique de la culpabilisation... Cela rappelle quoi, cela rappelle qui ? Et là, pour être honnête, j’aurais volontiers écrit quelque chose de très grossier à l’égard de l’auteur mais je me suis dit que pour écrire des insanités pareilles, il ou elle devait déjà avoir suffisamment de problèmes par ailleurs.
Je ne nie absolument pas la souffrance des homosexuels. Je pense que c’est « pas de chance ». Mais vouloir imposer la théorie qui n’existe pas à la majorité pour qu’une petite minorité souffre moins ( et encore, on ne le sait pas ), pas question. Trouvez autre chose. Je rappelle que les nains souffrent aussi. Pas de chance. Je propose que nous marchions tous à genoux pour que les nains souffrent moins de leur condition. Allez, les LGBT, ça vous concerne, la souffrance des autres ou pas ? Alors tous à genoux pour que les nains se sentent mieux. Non ? Vous avez raison, faire souffrir les autres pour que vous, vous souffriez moins, ce n’est pas une solution viable.
La grande prêtresse de la théorie du genre, avoue dans une interview, je cite :« Je n’ai jamais vraiment su quelle était ma place ». Ah, d’accord. C’est ça l’exemple à suivre ? Alors comme elle, elle ne sait pas, il faudrait que plus personne ne sache ? Non merci.
Que vous le vouliez ou non, l’hétérosexualité est LA norme ( 95% des gens ? ). Que vous luttiez contre la discrimination et l’homophobie est une chose et se conçoit parfaitement, mais prétendre détruire cette norme, sur laquelle est construite notre structuration mentale, et donc une bonne part de notre civilisation, à votre bénéfice exclusif, et le tout sans débats ( merci madame Belghoul d’avoir soulevé le lièvre ), pas question.
Pour conclure : à bas l’ingénierie sociale et à bas les apprentis-sorciers. Vivez votre vie, mais c’est à nous d’éduquer nos enfants.