« Le réel d’une chauve souris, pourrait-on dire en paraphrasant Nagel, »
Nagel ne parle pas du « réel » d’une chauve souris, mais de « ce que cela fait d’être une chauve souris ». Son objectif est de démontrer que l’on ne peut pas savoir ce que ressent une chauve-souris en étudiant ses réseaux neuronaux, de démontrer l’irréductibilité de la conscience au cerveau.