L’auteur de l’article n’a visiblement pas compris l’enjeu de désindexer du contenu, alors que l’accès au contenu se fait la plupart du temps via un moteur de recherche.
Et il est en contradiction avec lui-même : « Vous êtes parents et vous avez une adolescente qui diffuse d’elle des photos un peu... osées ? Lorsqu’elle aura fini ses études et qu’elle devra trouver du travail elle sera bien contente que ce droit existe. » In fine, si on va sur l’Instagram/facebook/profile Google+ où la photo a été publiée, elle sera toujours là. En quoi la désindexation du contenu protège l’homme dans ce cas ?
La décision de la cour de justice est une mauvaise solution à un vrai problème.