L’éducation nationale est en faillite.
A vouloir satisfaire un medef exigeant, les gouvernements successifs ont perdu tout bon sens et dilapidé ici comme ailleurs, les deniers publiques et les bonnes volontés.
La mission républicaine de l’éducation nationale est l’éducation de masse. Le terme peut être mal interprété mais il s’agit bien de cela. La dérive ruineuse et vaine à laquelle nous assistons est de former des salariés, des plombiers, des ingénieurs, des hommes politiques, des prêts-à-servir.
Il serait temps de revenir à la raison. Laissons les entreprises former leurs salariés qui n’en auront que plus de valeur et permettons à l’état d’instruire les citoyens.
La recherche fondamentale doit être réalisée par le publique, les recherches applicatives, par le privé.
Concernant les rythmes scolaires c’est à dire de nos enfants, il ne faudrait pas perdre de vue que ces enfants ont des parents et que ces parents ont une vie sociale et professionnelle souvent impérative. Il est absolument nécessaires d’harmoniser les rythmes scolaires avec les rythmes qu’imposent la société aux parents car à l’impossible, nul n’est tenu.