@seb59
Où avez-vous vu que ce monsieur aurait été condamné (et par qui et à quoi) pour ce propos que vous lui prêtez ?
Tenteriez-vous de le faire passer pour une pauvre victime de condamnations injustes ?
Qu’il ait ou non prononcé cette phrase insignifiante n’a presque pas d’intérêt. En revanche, je l’ai personnellement, en personne, entendu en prononcer bien d’autres, notamment de mauvaises plaisanteries, en réunion publique lors de la campagne présidentielle de 1988 qui m’ont choqué et pour lesquelles je n’ai pas connaissance qu’il ait davantage été condamné par la justice officielle du pays. Et je dirais presque : peu importe. Dans mon esprit, pour moi, à ce moment là, il l’a été (condamné) et le demeure. Pour moi c’est cela qui compte : après avoir écouté chacun, je me fais moi-même ma propre idée.
Par ailleurs, il aurait visiblement été condamné par la justice de ce pays pour d’autres propos, rappelés par quelqu’un d’autre ci-dessus. Le contestez-vous ? Contestez-vous le fondement de ces condamnations ?
Ce à quoi vous ajoutez « Mais laissons tomber, car on n’est pas la pour parler immigration mais bien du desarois des francais face à la politique devenue inutile. »
Permettez-moi (gentiment) de ricaner :
1) on est là pour parler de ce qu’on veut, il n’y a pas d’ordre du jour que je sache !
2) ainsi, vous pouvez, si cela vous chante, laisser tomber - je ne vois pas d’ailleurs trop quoi - ou persister : je ne vois pas davantage en quoi et c’est peut être d’ailleurs ce qui vous arrête... une certaine vacuité...
La politique concerne notamment l’ensemble des options prises collectivement ou individuellement par une société.
En ce sens, elle ne sera JAMAIS, de par sa définition, contrairement à ce que vous dites « inutile ». Une politique suivie peut s’avérer mauvaise. L’absence de politique (probablement ce que vous voulez dire ?) est (comme aurait encore pu dire Mr de La Palice) vacuité, certes.
Pour autant, l’intérêt de discuter de politiques à conduire demeure : dans le but ENSEMBLE d’en CHOISIR une (ou plusieurs s’il y a divers domaines) et de les APPLIQUER.
C’est dans l’idée même de se dire que l’on n’est pas maître de son destin, qu’en effet, on en abandonne la maîtrise.
Et je le répète car cela me semble fondamental :
C’est dans l’idée même de se dire que l’on n’est pas maître de son destin, qu’en effet, on en abandonne la maîtrise.