@seb59
Je n’ai pas besoin d’ailleurs de ton autorisation pour « laisser tomber ».
Nulle part, je ne vous ai pas parlé d’une quelconque autorisation de ma part. C’est vous seul qui êtes venu dire, tout seul spontanément et librement, que vous laissiez tomber. En ce qui me concerne, en effet, vous faites bien et dites bien ce que vous voulez : c’est votre droit, et c’est également le mien que de venir également, ensuite, vous dire ce que j’en pense...
« Et au point de vue »vacuité« , tes petites phrases sur le sens du destin, les lecteurs d’agoravox peuvent s’en passer... »
Votre mauvaise foi est remarquable : vous prétendez que je vous aurais contesté le droit de vous exprimer, ce que je n’ai nullement fait, pour ajouter que vous avez le droit de vous exprimer sans mon autorisation (ce que vous faites) pour enfin venir me dire que je devrais me taire. Bravo !
« Je crois que je me suis encore fait un copain, tant mieux, j’adore ca ! »
Vous ne m’êtes pas antipathique. Il faudrait bien autre chose que ces quelques mots pour que je me fasse un sentiment (qui ne serait en aucun cas irrévocable) ni dans un sens ni dans l’autre.
Pour en revenir à ce qui nous occupe, il se trouve en effet que reinette a cité la première la phrase de l’extrémiste que vous avez reprise.
Le problème c’est qu’en ne citant que cette phrase pour illustrer la condamnation qu’elle évoque, elle vous a ouvert la voie à la contestation du bien fondé de la décision de justice.
Avant de contester le bien fondé de la décision de justice, il serait peut être utile de lire plus complètement les propos de l’extrémiste dont il s’agit :
http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article88
Dans la foulée de la phrase citée il y avait aussi ceci :
« Et les Français raseront les murs, descendront des trottoirs en baissant les yeux. Quand ils ne le font pas, on leur dit ’Qu’est-ce que tu as à me regarder comme ça, tu cherches la bagarre ?’. Et vous n’avez plus qu’à filer, sinon vous prenez une trempe »
Maintenez-vous toujours qu’il n’y a rien de condamnable là dedans ?