@ l’auteur,
Oui, je connais les accords Blum-Byrnes de 1946.
Je connais aussi le rapport final et secret de l’Anglo-American Conference Report de 1961.
Mais, le problème avec notre langue française, c’est qu’aucun, je dis bien « aucun » homme politique français ne veut revenir sur tout ça.(la loi Fioraso entre autres).
Tout se passe comme s’ils avaient délibérément décider de tirer un trait sur quinze siècles de langue française.
Et ce n’est pas François Dernier, le locataire actuel de l’Élysée, qui sera à la hauteur de l’illustre roi de France, qui, lui, promulgua l’Édit de Villers-Cotterets.
La priorité de la politique de la France, ce devrait être la défense de la langue française ! En France d’abord, et aussi à l’étranger.
Mais allez faire comprendre ça à certains sur Agora Vox, dont je partage pourtant les analyses, et qui sur ce chapitre sont... disons : « complètement à côté de la plaque ! », et bien entendu, sûr d’eux-mêmes.
Ils savent ce qui est prioritaire, eux.
Qu’un peuple perde sa langue, ce n’est pas leur soucis.
Mais gageons que le peuple ne se laissera pas faire, lui.
Cordialement.
Thierry Saladin