Je ne connais pas d’études sur le population d’abeilles sauvages ; y en a-t-il ?
Car il faut bien voir aussi l’exploitation qui est faite à ces insectes, par l’homme. L’apiculteur, depuis une petite cinquantaine d’années, a bien dû multiplier le nombre de ruches avec un coefficient que je ne saurais estimer. Et, c’est sur ce nombre que les pertes sont comptées.
Dans la nature avant l’agriculture industrielle, pas d’hectares de colza ou de tournesol ; ceux-ci, du reste, ne sont plus mellifères, et sachant le « pif » des abeilles, elles ne vont pas se rouler dans le pesticide.
L’ozone ne doit pas être étranger au fait que les abeilles sont dévariées ; les « ondes » de toutes sortes non plus... c’est, à mon avis, l’ensemble de notre stupide et mortifère mode de fonctionnement, les mélanges de « genres » ( le varroa a été rapporté en Europe par quelques rigolos qui ont rapportées des reines des Philippines !!) et tout à l’avenant !