Qu’est-ce que cette logorrhée à base de Staline, de Lénine, de Trotski et de Sarkozy a à voir avec la question que je poserais à M. Landini si le hasard nous faisait nous rencontrer un jour, lui ou un autre résistant torturé ? Et quelle est la part de révisionnisme qu’elle contient ?
A l’époque où l’on fusillait systématiquement les espions, les espions savaient ce qu’ils risquaient et ils assumaient ce qui était considéré comme un risque normal du « métier ». A partir de là, on peut très bien imaginer que le résistant adopte une attitude semblable à l’égard de la torture...