Et encore, pour l’instant il nous reste encore une possibilité, même très affaiblie, de faire entendre la voix du consommateur qui refuse d’être le cobaye de la cupidité. Mais demain avec le TAFTA, ce sera GAME OVER. Ceux qui alertent sont si rares, et si peu entendus, que j’ai bien peur que nous passions officiellement dans la catégorie bétail, sans broncher.
C’est pas grand chose, mais on peut déjà signer la pétition stop TAFTA