La solution est dans l’autoproduction citoyenne autoconsommée : il faut
que chacun prenne en charge autant que possible sa propre production d’électricité :
j’ai transformé mon habitat (25O m²) pourtant ancien (construit bien avant ale
premier choc ^pétrolier) et modérément isolé (je n’ai pas suivi le dogme de l’isolation
prioritaire) en habitait à énergie positive (statut effectif BePos) mais pas
seulement pour l’électricité et le chauffage mais aussi pour l’eau (cf. www.autarcie.be).
L’accent des pouvoirs publics est bien trop mis sur la construction neuve
alors que muter un bâti ancien énergivore en BePos est possible, comme je j’ai
fait ! Miser sur la nouvelle construction, c’est attendre plusieurs siècles avant que tout le bâti ne soit
renouvelé !
Cela demande certes des sacrifies : l’option généralisée
te assidue de la « simplicité volontaire » : pas de vacances à l’extérieur
de chez moi (certes un propriété de 32 ares partiellement boisée), pas d’achat de
luxe, aucune dépense inutile, recyclage poussé des déchets, petite
permaculture, …
Projet en cours ; après avoir amorti en moins
de 7 ans, tout l’investissement (fonds propres et prêt), j’ai opté pour un couple
électrolyseur/pile à combustible à hydrogène qui a un rendement de prés de
60%. Si on valorise la chaleur résiduelle
produite surtout par la pile à combustible (lorsqu’elle transforme donc l’hydrogène
en électricité), on réduit la perte à 5% environ.
Cf. le détail du projet (vos
avis constructifs et aides sont les bienvenus) : http://www.retrouversonnord.be/projet_hydrogene.doc
Gandhi
disait : « Vivons tous simplement afin que tous puissent simplement vivre.
Sois
toi-même le changement que tu veux voir advenir dans le monde.
On
devient riche par les choses qu’on ne désire pas. »