Or une enquête faite dans sa planque à cette époque avait révélé qu’il détenait dans son ordinateur des photos de petits enfants se faisant violer par des adultes…images que Kouachi avait tenté d’effacer, ce qui fera dire au juge d’instruction : « je vous avise que, s’agissant des images pédopornographiques (…) un soit-transmis (copie de procès verbal) à été envoyé au procureur de la république ».
On peut placer des photos illicites sur un PC, et faire croire à un tentative d’effacements des données. Tout cela peut probant.