Les personnes acceptant d’être « pucées » devraient perdre le qualificatif d’humain au profit de celui d ’animal, avec toutes les conséquences induites.
A défaut, c’est vraiment la porte ouverte à toutes les fenêtres sans aucun espoir de revenir dans un monde civilisé !
NB : Je ne peux m ’empêcher de penser au livre de Karin Boye, suédoise qui a décrit dans un roman paru en 1940, un monde très proche de celui qui s’annonce.