Bonjour, laphilodelau.
Sincères félicitations pour cet effort sur vous-même face à ce qui était bel et bien une addiction. Nombre de personnes auraient intérêt à suivre votre exemple. Mais pour beaucoup, ce n’est pas gagné, et faute de connaître leur parcours de vie, nul ne peut leur jeter la pierre.
Personnellement, j’aime boire du vin, et plus rarement des apéritifs ou des digestifs. Et pas question de m’en passer : c’est pourquoi, grosso modo deux fois par semaine, l’une au restaurant, l’autre à la maison, nous descendons notre bouteille, mon épouse et moi. Et cela avec un grand plaisir dont il serait difficile que nous nous passions tant nous y sommes attachés. Le reste du temps, nous tournons à l’eau du robinet sans le moindre problème. Le retour du pinot gris ou du sancerre n’en est que plus apprécié !
Dans ce domaine, personne n’est à même de donner des leçons, entre les buveurs tempérés et les buveurs invétérés, chacun ayant sa propre résistance aux effets de l’alcool et une perception différente des conséquences éventuelles sur le comportement. Votre article n’en est pas moins utile dans la mesure où il amène chacun d’entre nous à réfléchir sur le sujet.
Cordialement.