Ce
qui m’étonne beaucoup, c’est que Chesnot et Malbrunot reconnaissent
dans leur livre que des tireurs avaient infiltré les premières
manifestations de 2011 afin de les faire dégénérer en
affrontements avec les forces de l’ordre. Cela revient à reconnaître
que les réinformateurs sur la crise syrienne avaient raison.
Au
sujet de l’attentat du 29 novembre 1981 à Damas, cela fait longtemps
que j’en cherchais confirmation tant de son existence que de celle de
ces accusations contre la France. L’affaire paraissant avoir été
occultée en France.