BonTout à vous hé ... à moitié pardonné.
Non ! Non tout ne peut pas s’effondrer
avec la fin de la relativité s’il est démontré que les effets
qu’elle a expliqué sont le fait de vitesses absolues et non plus
relatives … Mais oui l’expérience proposée ici ne peut pas
invalider cette théorie car il faut de nouveau rappeler – comme
déjà fait et lu bien plus haut dans un billet écrit par un autre
intervenant – que toute expérience de physique doit pouvoir
donner des résultats IDENTIQUES jusque dans les cas limites,
c’est-à-dire, ici, aux vitesses extrêmes que pourrait atteindre
expérimentalement le bloc ’’B2’’.
Or, et les accélérateurs de
particules sont là pour en témoigner, la masse des mobiles
matériels augmentent bien en fonction de leurs vitesses.
Vitesses relatives pour Einstein, ce
qui mène à des non-sens aujourd’hui complètement zappés, mais
non-sens éliminés par l’utilisation de vitesses ’’réellement
absolues’’ comme pourra le montrer une des expériences très simples
étayant la théorie à publier et qui, théorie, ne peut que
rétablir l’un des sens de tous les sens à sa juste valeur,
celle qui est conforme à une réalité absolue débarrassée de tous
les voiles qui se sont tissés lors des interactions énergétiques
ayant participé à habiller les quanta d’énergie fondamentaux après
leurs rencontres et unions pour certains, quanta possédant bien les
caractères ondulatoire et corpusculaire cernés par les chercheurs
pionniers et qui, quanta, lors de leurs rencontres constructives, ont
permis aux structures des particules émergeant dans le substrat
spatial de notre Univers de se complexifier et ainsi d’en permettre
l’évolution.
@+ ; si l’insidieux le veut ; M&A J.