L’idée du sous-homme, pure potentialité, à l’identité mouvante, fluide,
changeante à volonté est déjà le projet philosophique (nazi) de la
« french theory » et de ses monstrueux avortons idéologiques de gauche.
Il est en cours de réalisation depuis les années 60-70. C’est aussi le
projet du néo-capitalisme.
Ce projet de création d’« homme » nouveau
rejoint le rêve transhumaniste concernant « l’homme » augmenté et
l’immortalité. Il ne reste que quelques verrous à faire sauter pour que
le loboto-bo-beauf accepte complètement cette nouvelle réalité. La mort
de l’homme est déjà effective. Place au mutant cyborg, zombie éternel
thymo-régulé, poussant son caddie dans les galeries marchandes de
l’hyper-(marché)-ghetto planétaire.