Le sport tel qu’il est pratiqué répond à une vision
occidentale-capitaliste. C’est toujours les forts qui imposent leur vision des choses. Alors, c’est
la compétition, comme en économie. Produire plus et consommer plus. Pas de place
pour les faibles et tous les coups sont permis. Quand le politique et l’argent
s’accaparent un espace, ça sent le roussi. Le peuple a besoin de divertissement.
On dépense alors des sommes faramineuses pour répondre à ses désirs, comme à un
enfant gâté. On est pris alors dans un cercle vicieux. C’est ce qui arrive
quand on s’abaisse dans le seul souci d’éviter les difficultés et de plaire.